#FLE Utiliser « VDM » comme document déclencheur pour travailler les temps, pour faire écrire … et publier

Sur les conseils d’une collègue, Eva Cornejo, que je remercie au passage, j’ai jeté un oeil au site VDM (Vie De Merde), Vos histoires de la vie quotidienne. C’est une plateforme sur laquelle les internautes peuvent poster de très courtes histoires censées être personnelles et témoigner de leur malchance. Ce qui fait sourire ou rire…

Toutes ces anecdotes suivent à peu près le même modèle d’écriture : un titre accrocheur, « aujourd’hui », suivi d’un verbe au passé composé ou au présent. Le récit se termine par une chute qui traduit la malchance, la bêtise, la maladresse et que corroborent les 3 lettres : VDM. Elle produit un effet comique et fait généralement sourire.

Il est aussi possible de sélectionner ses lectures en choisissant parmi les différentes catégories proposées : « aléatoire », épicée », « confessionnal », etc.

Ces anecdotes sont donc de merveilleux documents déclencheurs pour observer le fonctionnement de la langue, notamment les temps : qu’il s’agisse du présent de l’indicatif ou du passé composé. On peut utiliser directement le site en ligne et faire découvrir ces petites histoires aux apprenants.

Néanmoins, selon le public, mieux vaut sélectionner les histoires qui correspondent au point de langue étudié et créer un petit corpus approprié car certaines sont écrites au présent tandis que d’autres contiennent les temps du passé : en ligne, le corpus sera plus fluctuant et varie d’un utilisateur à l’autre. Sur le plan interculturel, certaines peuvent soit mettre mal à l’aise, voire choquer les apprenants, soit ne pas être comprises à cause de l’humour et de certaines références manquantes lorsqu’elles collent trop à l’actualité.

Voici le corpus que j’avais préparé, suivi de l’exploitation faite en cours. L’objectif est, pour un niveau B1 ou B2, de réviser le passé composé, les conjugaisons et de revoir certaines valeurs, avant d’ajouter l’imparfait.

La deuxième phase du travail repose sur le réinvestissement et la production écrite : « écrire à la manière ». Les apprenants ont eu vraiment beaucoup de plaisir à rédiger des anecdotes humoristiques. J’ai néanmoins choisi de ne pas les publier sur le site officiel mais de les partager sur les réseaux sociaux de l’institut où j’enseigne. Voici quelques productions qui, je l’espère, vous donneront l’envie de faire écrire à votre tour.

Enfin, troisième étape, nous avons essayé avec mes étudiants et étudiantes de Master 2 FLE de publier directement sur le site VDM des anecdotes dans une approche interactionnelle, pour suivre les idées de Christian Ollivier. Il aurait été en effet intéressant de publier les productions écrites sur le net et d’observer les interactions avec de vrais internautes. Nous avons voulu tester…

Par groupes de 2, ils ont ouvert un compte, ont rédigé une anecdote et l’ont publiée. Puis, nous avons attendu, attendu… Plusieurs jours, voire plusieurs semaines… Et a priori, aucune n’a été publiée par les administrateurs du site. C’est donc un élément dont il faut tenir compte : anticiper un autre support pour pouvoir publier et partager les travaux des étudiantes et des étudiants.

En conclusion, il s’agit de documents authentiques concis, amusants et qui permettent de toucher du doigt l’humour français. Agréable entrée en matière pour travailler le passé composé, ou encore le présent avec nos apprenants. C’est aussi un excellent moyen de stimuler l’envie d’écrire, avec plaisir et humour, avant de publier.

Apprendre le français avec les séries : « La Flamme » Episode 1 #B2

Voici une unité pédagogique que j’ai testée avec mes apprenants et apprenantes de niveau « vers B2 » dans le cadre d’un cours hebdomadaire de 1h30. Les objectifs sont de faire découvrir des séries françaises en accès libre aux étudiants étrangers, de leur faire travailler la compréhension orale, d’enrichir le lexique en lien avec le parler jeune et surtout de leur faire écrire à la manière de.

« La Flamme », une série proposée sur Canal+ et dont seul le premier épisode est en accès libre, est une parodie de la téléréalité « The bachelor » où un candidat est enfermé dans une villa avec des candidates qui ont pour mission de le séduire. Il en choisit une avec laquelle il est censé se marier.

Premier épisode de « La flamme »

Première séance

Combien d’épisodes par semaine ?

Nous avons commencé avec un tour de table et une discussion autour de la consommation personnelle d’épisodes de séries, de leur origine, du degré d’addiction, etc.
Nous avons ensuite fait une compréhension orale à partir d’un reportage sur Franceinfo « Séries : une addiction à l’échelle mondiale »
Pour finir ce premier cours, nous avons lancé un sondage à faire auprès d’au moins 3 personnes : aimez-vous les séries ? Lesquelles ? Combien d’épisodes regardez-vous par semaine ? Quelle origine ? En quelle langue ? En VO ou en VF sous-titré ?

Deuxième séance

« La flamme » : début de l’épisode 1 (0 à 4′)

Après un retour sur les résultats des enquêtes et la mise en commun des résultats, nous avons commencé à regarder le premier épisode de « La flamme », le seul qui soit en accès libre.

  • Hypothèses à partir du générique avec le son
  • Visionnage des 4 premières minutes sans le son : résumé de la saison précédente où le candidat fait une demande en mariage à la gagnante. Elle refuse toutes ses propositions de boisson pour trinquer et il finit par regretter son choix…S’ensuit la présentation de Marc, le nouveau candidat qui est filmé en train de travailler et à qui l’animateur demande quel est son idéal féminin.)
  • Hypothèses d’interprétation. Que se passe-t-il ? Pourquoi y a-t-il un problème entre les 2 personnes ?
  • Visionnage des 4 premières minutes avec le son et remplissage du questionnaire qui porte essentiellement sur les clichés de la scène de demande en mariage.
  • Visionnage morceaux par morceaux

Tout un travail sur les niveaux de langue peut être mené avec les apprenants. Par exemple, Laetitia Casta dit « Ca me fait péter ». On peut rappeler les autres niveaux de langue pour cette expression …

Troisième séance

« La flamme » Episode 1 (4′ à 30′)

C’est une séance qui prend largement 1h30, même 2h car la compréhension est difficile (beaucoup de musiques qui parasitent les paroles des personnages pour des apprenants étrangers). Pendant presque 30 minutes, le candidat reçoit une à une les 13 candidates qui sont toutes stéréotypées. Alternent des scènes au cours desquelles le candidat discute avec 2 ou 3 candidates, d’autres où 2 candidates parlent entre elles, jusqu’à ce que les 2 premières candidates soient éliminées. Les apprenants doivent compléter la fiche avec les informations qu’ils voient et entendent, et avec l’aide de l’enseignant…

Séance 4

Ecrire à la manière de « La Flamme »

Enfin, une dernière séance est proposée pour lancer un travail d’écriture au choix parmi 3 propositions en reprenant le principe d’écrire à la manière de et de réinvestir tout le lexique qui a été appris. Un modèle d’écriture théâtrale est donné en fin de page pour apprendre à insérer des didascalies.
Ce travail se fait par groupes de 2 ou 3 et sera terminé en dehors de l’espace classe. Lors d’une dernière séance, l’idée est de faire jouer aux apprenants les dialogues qu’ils ont écrits.

Utiliser Padlet pour faire connaissance en cours de #FLE en #présentiel ou à #distance

Les activités brise-glace habituelles étant plus difficiles à mettre en place dans le contexte d’enseignement actuel, voici une alternative pour continuer à briser la glace lors des premier cours, tout en s’appuyant sur la production écrite ou la production orale et en maintenant les interactions entre les apprenant.es. L’idée est de mettre les apprenant.es 2 par 2, de leur laisser 10 minutes pour faire connaissance et se poser des questions, en présentiel ou bien à distance.

Ensuite, interviennent les outils numériques : sur le mur virtuel Padlet, ils vont dans un premier temps localiser la ville d’origine de leur binôme, par exemple, ce qui permettra de visualiser en temps réel d’où ils viennent. La tâche finale : ils proposent une présentation de leur binôme, soit écrite, soit sous forme d’enregistrement oral, sous forme de portraits croisés, plus ou moins précis selon le niveau de départ.

Exemple de Padlet avec la localisation géographique des apprenant.es

Prérequis : avoir des apprenant.es connectés avec un smartphone, une tablette ou un ordinateur, du Wifi et si possible, avoir auparavant vérifié que tout le monde a une application pour lire les QrCodes.

Avant le cours

Préparez votre Padlet en choisissant le modèle « Carte » pour permettre à chaque personne de choisir une ville d’origine, par exemple.

Vous pouvez aussi préparer la première publication pour donner un exemple à vos apprenant.es : écrivez une petite présentation ou bien enregistrez votre voix avec les informations que vous attendez.

E
Exemple de consigne

Pendant le cours …

  • après avoir présenté le Padlet et expliqué l’activité, vous mettez les apprenant.es en binôme, pendant une durée définie à l’avance pour que chacun.e récolte des informations sur l’autre personne. Ils peuvent prendre quelques notes afin de mieux préparer leur présentation écrite ou orale.
  • au bout du temps imparti, vous donnez l’accès à votre mur virtuel sur lequel chacun va enregistrer sa présentation ou l’écrire. Pour cela, si tout le monde a une application pour lire les QRcodes, vous pouvez afficher le QRCode de votre Padlet. Allez dans « Partager » puis « Obtenir un QRCode ».
Pour obtenir le QRcode ou le lien du Padlet

Les apprenant.es n’ont plus qu’à scanner le QRcode et ont directement accès à votre mur virtuel. Si ce n’est pas le cas, il faut envoyer par mail le lien du Padlet.

Réalisation de la tâche pendant le cours … ou après …

Pour mettre un peu d’ambiance, on peut envisager de demander aux apprenant.es de préparer leur présentation pendant le cours : c’est en temps limité, il y a du bruit mais la pression du temps peut dynamiser l’ambiance. On peut, au contraire, décider de faire faire la tâche finale à la maison, en favorisant la qualité à la rapidité.

Comment coller un point de localisation ?

Pour pouvoir coller un nouveau point, il faut cliquer sur le bouton rose et entrer le nom d’un lieu, puis choisir l’une des suggestions.

Une fois que le point de localisation est créé, de multiples possibilités s’offrent à l’apprenant.e : écrire un texte, mettre une photo, enregistrer la voix, dessiner, etc

Après le cours …

L’avantage de cette activité est qu’elle a rendu les apprenant.es actifs pendant le cours et a stimulé les interactions qui ont du sens puisqu’il y a une tâche finale définie à l’avance où, les apprenant.es le savent, la production sera exposée au groupe-classe. Elle laisse une trace de ce qui a été fait en cours et chaque apprenant.e peut modifier après le cours le point de localisation qu’il a créé (pas les autres), étoffer ce qui a été écrit, ré-enregistrer sa présentation orale, ajouter une photo et surtout écouter ou lire sa propre présentation faite par une autre personne.

Il est aussi possible d’adapter cette activité aux petits niveaux. Pour les débutant.es, on peut se contenter de faire écrire le point de localisation avec la ville de naissance par exemple et le prénom. C’est l’occasion de commencer à découvrir les pays et les nationalités.

Fle Apprendre le français avec les séries TV : « Samantha oups ! » (2)

Comme je l’ai mentionné dans un article antérieur, la série « Samantha Oups! » est une des rares séries TV exploitables pour les niveaux A1/A2.

Après avoir vu et analysé plusieurs épisodes qui servent de matrices pour la production écrite, il est possible de passer à l’écriture de petites scènes « à la manière » de « Samantha oups ! ». Mes étudiants ont travaillé par groupes de 3 autour du thème fédérateur : Samantha prof de Fle ou Samantha à l’IEFE.

Premier défi : écrire à la manière de…

Nous avons consacré 2 heures non consécutives au travail collectif d’écriture. La consigne était de produire 2 ou 3 petits textes pour créer un nouvel épisode de notre série TV, en imitant le style et en conservant les caractéristiques des deux personnages. Très vite sont apparus les premiers jeux de mots, malentendus pour faire rire le spectateur : « grosse queue/ grande queue » (oui, oui !), « travail à la maison/ devoirs », « vert/verre/vert », « grand-mère/grammaire »…

Deuxième étape : comment mettre en valeur et partager la production écrite ?

Ensuite, la question la plus difficile est arrivée : qu’allions-nous faire de ces écrits ? Allions-nous passer au tournage ? Mais pas facile pour certains étudiants de mettre en danger leur « face » et de se montrer avec une perruque blonde sur la tête en train de parler français, notamment avec un niveau A1 ou A2… Chaque groupe a ainsi eu la liberté de mettre en valeur et de partager avec les autres son travail d’écriture :

  • un groupe a refusé d’être filmé et a joué les petits épisodes dans la classe devant les autres étudiants
  • deux groupes ont choisi d’utiliser des poupées Barbie et des personnages en Légo ou Playmobil
  • un groupe a accepté de se filmer avec une perruque
  • un groupe a contourné la difficulté en dessinant les personnages sur des morceaux de papier et les a transformés en marionnettes en mettant un stylo derrière le papier…

Capture d_écran 2017-03-09 à 15.47.34
Cliquez

Capture d_écran 2017-03-09 à 15.40.38
Cliquez

Capture d_écran 2017-03-09 à 15.44.56

Cliquez

Autre difficulté : le montage vidéo

Certains ont filmé avec les Ipads que j’avais apportés en cours et ont fait directement le montage avec Imovie. D’autres ont préféré faire un montage plus travaillé, en insérant la musique de la série, en ajoutant un générique. Ils ont ainsi utilisé leur propre matériel puis ont fait le montage à distance, en totale autonomie.

A retenir de cette expérience :

  • le plaisir et l’émulation suscités par la créativité, tout à fait étonnante chez des apprenants de niveau A1/A2, capables d’écrire avec un registre comique et de faire des jeux de mots
  • l’autonomie de la plupart des apprenants pour gérer seuls les difficultés techniques
  • l’importance d’enseigner et de stimuler toutes les compétences transversales que sont le travail collaboratif, la négociation, l’utilisation des outils numériques, etc.
  • la valeur stimulante de la publication et du partage qui créent une réelle situation de communication et donne du sens aux apprentissages

Apprendre le français avec les séries TV (1) : « Mère et fille »

Voici un cours de renforcement en FLE que je propose ce semestre à des étudiants de niveau A2/B1 : apprendre le français avec des séries TV. Je partage cette pratique car le retour que j’en ai chaque semaine est très positif. Il s’agit de proposer une approche de l’enseignement du français, différente, plus ludique et proche de la réalité de la vie quotidienne française.

Pourquoi la série « Mère et fille »?

Capture d’écran 2016-02-04 à 14.41.49
Capture d’écran de la série « Mère et fille »

J’ai choisi de m’appuyer sur la série TV « Mère et fille » qui existe depuis 2012 sur la chaîne Youtube de Disney Channel FR et qui met en scène une adolescente de 14 ans, Barbara et sa mère, Isabelle, 39 ans, divorcée : cette série, destinée à un public plutôt jeune, a le mérite d’éviter des scènes trop légères ou violentes qui pourraient déranger dans un contexte scolaire ou au vu de certaines cultures des apprenants. C’est surtout une comédie, qui fait vraiment rire, tant les apprenants que leur enseignante, incitant donc à apprendre le français avec plaisir. Enfin, le format court (soit un épisode de 5 minutes, soit un épisode composé de 3/4 sketchs) épargne les efforts d’endurance en compréhension orale et permet de toucher des réseaux lexicaux très variés, tout comme des niveaux de langue variés.

Objectifs

  • Travailler la compréhension orale
  • Enrichir le lexique de la vie quotidienne
  • Stimuler l’imagination et la créativité via la production orale, écrite et audiovisuelle
  • Améliorer la prononciation, la diction et l’interprétation

Démarches

De nombreuses démarches sont possibles. Généralement,

  • un remue-méninges autour du titre qui permet de faire des hypothèses et de découvrir un certain lexique
  • une première écoute suivie d’une reconstitution collective de ce qui a été compris
  • une deuxième écoute au terme de laquelle on complète les données de la première écoute
  • une troisième écoute avec la feuille de transcription lacunaire

Voici 2 exemples d’épisodes et leurs transcriptions lacunaires :

Episode : « Tiffany » 

Transcription : Mere et fille « Tiffany »

Episode : « La sortie de classe »

Mere et fille La sortie de classe

  • Pour aller au-delà de la compréhension et passer à la production orale, il est possible de faire endosser aux apprenants les rôles des personnages pour travailler la diction, l’interprétation et la gestuelle. Un bon exercice a été de se détacher de la diction « lecture », en obligeant les étudiants à se lever, à marcher tout en jouant leur rôle. Les productions orales sont enregistrées sur un mur virtuel collaboratif Padlet afin de donner un destinataire réel à l’enregistrement, le groupe, et de pouvoir s’écouter les uns les autres.
  • La tâche finale sera dans un premier temps une production écrite par groupes de 2 ou 3 dans laquelle les apprenants devront inventer un nouvel épisode de « Mère et fille » à partir des titres qu’ils ont choisis. Chacun apporte son ordinateur ou sa tablette et l’écriture sera collaborative.

d7dc6ef1-0386-4dba-a29a-61a60bd55f4e

Ira-t-on jusqu’au tournage ? Je l’espère…

Capsule collective : s’auto-évaluer collectivement avec Explain Everything

Les élèves de 9eme commencent à s’imprégner de la méthodologie de l’argumentation. Au lieu d’évaluer leur première production écrite avec mon stylo rouge, j’ai choisi l’évaluation orale et collective.

Déroulement :

– J’ai sélectionné quelques productions écrites contenant les erreurs fréquentes et les ai prises en photo via l’application Explain Everything.

– En classe (demi-groupe), après avoir défini 4 critères d’évaluation, j’ai projeté la première production au tableau. En partant de chaque critère, les élèves devaient répondre collectivement à la question : l’élève a-t-il respecté ce critère ?

– J’ai fait circuler ma tablette en demandant à tour de rôle aux élèves d’enregistrer le commentaire du groupe et d’utiliser les outils de l’application (stylo, laser…).

– J’ai ajouté ensuite une introduction et ai publié la capsule collective sur Vimeo.

Les avantages par rapport à une évaluation écrite traditionnelle :

– chaque élève peut avoir accès aux productions d’autres élèves : il voit concrètement ce qu’il ne faut pas faire mais a aussi un modèle  qui l’aidera à améliorer ses futures productions

– reformuler oralement les commentaires aide à assimiler la méthode à suivre, à exercer son esprit critique

– la capsule est un outil d’auto-formation : les élèves du groupe 1 découvrent les commentaires de productions faits par le groupe 2. Cette capsule peut être utilisée par les autres classes du niveau pour traiter un nouveau sujet et pour éviter les erreurs récurrentes dans les productions.

– pendant le cours, les élèves étaient actifs et plutôt à l’écoute car chacun pouvait être choisi pour enregistrer le commentaire, ainsi l’attention était soutenue.

Ce type d’évaluation formative est une étape et a été suivi à l’heure d’après par une évaluation écrite en temps limité.

Publié le 27 avril 2015 par geraldinelarguier dans Français et numérique